Névralgie cervico-brachiale : la sciatique du bras

La névralgie cervico-brachiale (NCB) est une douleur ressentie au niveau du cou irradiant vers la nuque, l’épaule, le bras ou la main. Cette douleur est parfois accompagnée de sensations anormales de picotements ou de fourmillements (paresthésies) et est souvent appelée la sciatique du bras.

Les racines nerveuses qui partent de la colonne cervicale pour aller vers le bras sont comprimées au niveau des vertèbres. Cette compression déclenche la névralgie cervico-brachiale. Elle peut être lié à la présence d’arthrose au niveau du cou ou peut être aussi causée par une hernie discale. Parfois encore, ce sont des contractures musculaires qui réduisent les espaces de sortie des nerfs de la colonne par compression.

Ces contractures sont souvent associés à un stress ou une fatigue importante ainsi qu’a des positions répétées comme le fait de consulter son smartphone tête vers le bas trop longtemps et trop souvent !

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La douleur liée est souvent sourde et lancinante : survenant sous forme de pics, ressentie sur le trajet d’un nerf ou dans le territoire qu’il innerve. Elle est donc ressentie dans le cou et vers la partie du membre supérieur dont le nerf est touché. Elle peut survenir brutalement ou s’installer de manière progressive et entrainer des douleurs nocturnes, notamment parce qu’il est difficile de trouver une position confortable pour dormir.

Au début, on peut chercher des étirements spécifiques ou des auto-massages, appliquer du froid pour la douleur puis du chaud pour décontracter la zone en tension. Mais si la douleur persiste au delà de trois semaines, il faudra consulter votre médecin et engager des séances de kinésithérapie ou d’ostéopathie avant peut-être un examen par imagerie pour avoir plus de détails.

Pour prévenir cette pathologie, faites de l’activité physique adaptée à vos capacités et travaillez sur vos postures quotidiennes avec l’aide d’un coach sportif professionnel.

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Cartouche Olivier Candelon

 

Une pratique adaptée pour réduire les douleurs articulaires

Qui peut dire qu’il n’a jamais eu de douleurs articulaires au cours de sa vie ? Sportif de haut niveau, sportif du dimanche ou sédentaire, voici quelques conseils afin d’éviter dans la mesure du possible ces désagréments.

Douleur générale

D’où proviennent ces douleurs?

Il est important de tenter d’en déceler la cause pour y remédier plus facilement.

Ainsi nos habitudes (sportives ou pas) peuvent avoir un impact négatif sur nos articulations : un mouvement mal réalisé (et de façon régulière), une mauvaise posture, l’utilisation d’une machine en salle non adaptée (ce qui est bon pour mon voisin ne l’est peut-être pas pour moi… d’où l’importance d’être suivi par un coach), des vêtements non adaptés (chaussures usées par exemple…), un manque de tonus musculaire, une usure causée par l’âge…

Mais aussi une surcharge pondérale peut être à l’origine de nos douleurs. En effet, cet excédent peut peser sur l’articulation, abîmer le cartilage et se transformer en arthrose plus tard.

Les conséquences sont alors multiples :

En voici une liste non exhaustive :

  • Le sommeil peut être altéré et donc la récupération non optimale.
  • Notre humeur et notre moral en seront affectés.
  • La pratique de l’exercice peut être perturbée voir stoppée. Le mouvement devra alors être adapté afin d’éviter la douleur.
  • La blessure peut survenir de manière épisodique ou chronique.

Fort heureusement, les remèdes sont aussi nombreux :

Une alimentation équilibrée demeure la base, d’autant plus si vous êtes en surpoids. Une hydratation en quantité suffisante (notre corps est constitué en majeure partie d’eau) et éviter tout les laitages de vache qui stimulent l’inflammation.

Un équipement adapté, par exemple des manchons permettent de préserver vos muscles et tendons lors d’un effort de longue durée (course à pied, etc..) et de réduire la pression sur les articulations.

Mais aussi de bonnes chaussures sont essentielles, que l’on soit randonneur, coureur ou pratiquant en salle. N’hésitez pas à consulter un podologue afin de ne pas vous tromper de type de chaussure. Le port de semelles orthopédiques peut être aussi le remède miracle, ce fut la cas pour moi…

Être suivi par un coach sportif professionnel vous évitera de réaliser des mouvements erronés et vous permettra de découvrir de nouvelles pratiques sportives.

La variété des activités physiques ne peut être que bénéfique à la résolution de vos maux. Les contraintes ne sont, par conséquent, plus concentrées sur un mouvement répétitif. Il faut trouver le juste équilibre entre les différents exercices, les activités quotidiennes et le sport. Faites pour cela confiance à votre coach sportif Domicil’Gym qui vous guidera dans une pratique adaptée tout en préservant vos articulations.

 

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Faire du sport avec une prothèse de genou

Nos clients présentent parfois des douleurs articulaires chroniques souvent signe d’une arthrose (usure du cartilage entre deux os au niveau d’une articulation) qui peut devenir progressivement invalidante (on parle de chondropathie  stade 3 ou 4). Gonarthrose (au niveau du genou) ou coxarthrose (au niveau de la hanche) deviennent alors un frein à la mobilité en générale et l’activité physique en particulier.

De nos jours, la pose de prothèse devient plus courante et permet en quelques mois de retrouver une vie normale voire de pouvoir pratiquer de nouveau une activité sportive.

 

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Il faut penser à la prothèse, mais pas forcément en premier lieu. Après quatre ou cinq mois d’évolution, il faut d’abord s’orienter vers les traitements médicaux qui sont la rééducation, parfois des injections de certains produits comme l’acide hyaluronique, ou encore des mesures hygiéno-diététiques. Une activité de renforcement musculaire régulière et adaptée permet également de retarder l’aggravation de l’arthrose.

Certains patients sont peut-être en surpoids, et perdre quelques kilos peut améliorer la fonction du genou ou de la hanche même si on a une arthrose évoluée. Ce n’est qu’en cas d’échec de tous ces traitements et typiquement au delà de six mois, un an qu’on commence à songer aux interventions chirurgicales qui ne sont pas forcément la prothèse en premier lieu.

Avec cette prothèse, nous constatons un changement radical dans la vie quotidienne et après un rééquilibrage postural, une pratique sportive redevient possible et fortement conseillé. Cependant il vaut mieux privilégier des activités où l’articulation ne soutient pas le poids du corps (travail en charge). Le vélo, la marche nordique, les mouvements dans un axe précis, le renforcement musculaire ciblé sont de très bonnes alternatives au départ.

 

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