Réussir avec un coach

Un coaching commence par une question à vous-même : Y’a t’il quelque chose qui me tienne à cœur et que je souhaite mettre en place ? Si vous répondez par l’affirmatif alors vous êtes prêt à faire appel à un coach. Le coach est un professionnel dont la mission est de vous guider vers vos objectifs en étant force de proposition, de solutions car bien souvent l’envie de réussir est bien présente mais les moyens manquent.

Votre coach va vous permettre de savoir comment vous y prendre « en actes », méthodologiquement en faisant appel à ses bagages personnels et professionnels. Il suffit de 3 à 6 mois réalisés avec engagement pour réussir à débloquer une situation, intégrer une nouvelle habitude bénéfique. Pour autant, il s’agit pour vous d’un véritable défi de 3 mois où il est conseillé de suivre scrupuleusement les conseils sans y déroger ! Rassurez-vous, les efforts investis lors des premiers jours et semaines seront largement compensés par la sensation d’une énergie nouvelle, un sentiment de maîtrise et de forme, un corps plus en vitalité et en éveil, ainsi que de l’enthousiasme.

Investir ces efforts est certainement le plus beau cadeau que vous pouvez vous faire !

Si vous avez répondu positivement à la question au début de cet article et pris la décision d’avancer alors laissez-moi vous rappeler la méthode Domicil’Gym que je peux vous proposer :

  • Vous bénéficiez initialement de 2 séances de découverte offertes et sans engagement qui vous permettent en plus de l’essai du service, de préparer votre coaching personnalisé. Vous réalisez un bilan complet de votre condition physique et de vos motivations, de vos habitudes de vie au cours de la première heure de rencontre. Vous définissez ensuite de manière collaborative avec votre coach – l’objectif de votre programme ainsi que la méthode pour y arriver.
  • Vous disposez ensuite de manière traditionnelle, de 26 séances coachés à votre rythme, pour passer à l’action et dérouler votre plan d’action. Vu que vous êtes accompagné(e) la motivation est entretenue, le contenu réadapté si nécessaire avec la garantie d’y arriver si vous vous investissez personnellement. Vous réalisez d’ailleurs régulièrement des bilans pour vous rendre compte de la progression.
  • Vous formez avec votre coach, la première équipe pour votre succès ! Ce sont donc de manière hebdomadaire des moments conviviaux que vous vivez, avec un professionnel qui se déplace avec son matériel vers vous pour vous permettre d’optimiser votre temps !

Tentez par l’aventure ? N’hésitez pas à rentrer en contact.

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Cartouche Yoann DUPUTIE

Parlons de chose dont on ne parle pas …

Quand il s’agit de parler sport et santé, on pense assez rapidement aux blessures comme les entorses, les claquages, voir les courbatures, les douleurs ou le surentraînement. J’ai pourtant décidé d’aborder un problème autre, qui est bien plus courant que le nombre d’articles disponibles sur ce sujet le laisse entendre : parlons sport, parlons fuites urinaires !

Chez les sportifs, tout le monde peut être concerné. Régulièrement, les spécialistes du domaine accueillent des femmes, voir des hommes de tous les âges pour des consultations concernant des fuites urinaires à l’effort. Le sujet est tabou, tout simplement par ce qu’il est gênant la plupart du temps pour les concerné(e)s. Les staff autour des sportifs (lorsqu’il y’en a) sont encore majoritairement masculins et il n’est pas dans les habitudes d’échanger autour des problématiques uro-génitales.

Pourquoi ça fuit ?

Avant tout, rien ne remplacera un bilan précis avec un spécialiste pour déterminer avec précision les causes possibles. En matière de sport, il s’agit souvent d’un développement hypertrophique trop important de certains muscles du caisson abdominal, ou de muscles en lien avec l’abdomen. Lors de certaines actions comme la course, le saut ou d’autres mouvements où le tronc est mobilisé, la pression abdominale augmente trop fortement et c’est la fuite.

Toutefois, il faut noter que d’autres problématiques peuvent apparaître et doivent être prises au sérieux. En cas d’hyper-pression répétée dans le temps, les structures du corps sont impactées. On peut dès lors observer des descentes d’organes, des diastasis au niveau de la ligne blanche, des blocages du diaphragme ou des décalages articulaires au niveau vertébral.

Quelle solution ?

Arrêtez les exercices d’abdos traditionnels de type crunch où le tronc se rabat sur les jambes. Favoriser plutôt le travail abdominal sur des dynamiques hypopressives. Ces exercices renforcent le gainage et les muscles posturaux. La respiration y tient une place importante. Prenez notamment soin d’expirer profondément lors de la contraction de vos abdos, le diaphragme remonte limitant ainsi l’augmentation de la pression dans l’abdomen.

Pour aller plus loin dans cette dynamique, vous pouvez faire de la gymnastique hypopressive régulièrement. Elle permet d’effacer ces symptômes tout en tonifiant son corps.

Les coachs du réseau Domicil’Gym et moi-même sommes formés et sauront vous conseiller et accompagner dans ces activités et ces objectifs.

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28 Juillet : Journée mondiale de l’hépatite

Nous avons certainement tous déjà entendu parler de l’hépatite, sans pour autant s’y intéresser de prêt. Est-ce une maladie pouvant être en lien avec la pratique sportive ? Quelle est la place des activités physiques lorsqu’une hépatite est déclarée ?

Une hépatite est une inflammation du foie provoquant la destruction variable de ses cellules principales : les hématocytes. Lorsque cette inflammation est récente (moins de 6 mois), on parle d’hépatite aiguë. Au delà, l’hépatite est qualifiée de chronique.

On peut distinguer 2 grandes origines d’hépatites : les hépatites virales et les hépatites non virales.

  1. Les hépatites virales sont causées soit par le virus des hépatites A, B, C, D, E soit par d’autres virus comme le VIH, l’herpès, les oreillons, la mononucléose, Ebola.
  2. Les hépatites non virales ont comme sources une consommation excessive d’alcool,  de médicaments, des corps étrangers ou tout autre élément « toxique » devant être sur-assumée par le foie.

En effet, le foie remplit le rôle d’une véritable centrale aux multiples fonctions vitales. Il tient un rôle dans le métabolisme énergétique, la synthèse protéique et dans l’élimination des déchets. Plus précisément, il permet :

  • la synthèse de protéines et molécules essentielles à la coagulation notamment,
  • Le stockage des sucres et des graisses et intervient dans le métabolisme glucidique pendant l’effort physique.
  • la synthèse de la bile indispensable pour digérer les graisses,
  • la filtration et transformation de nombreuses substances nécessitant d’être filtrées avant de passer dans la circulation générale.
  • la transformation en énergie utilisable des nutriments.

Dans la pratique sportive, le foie peut parfois être perturbé. Il apparaît clairement que l’effort, en fonction de son intensité et de sa durée, est un facteur central dans la naissance des troubles du foie. Des facteurs de variations interindividuelles comme l’origine ethnique, le degré d’entraînement et la diététique peuvent également intervenir. Cependant la plupart du temps, c’est un traumatisme direct ou un coup de chaleur qui cause la genèse d’une hépatite . Pour autant, la consommation de produits hépatotoxiques est la première cause à rechercher sous quelque forme que ce soit (essentiellement prise médicamenteuse, mais aussi phytothérapie ou compléments alimentaires…), avec la difficulté que peut représenter le déni par le sportif de produits considérés comme dopants. Même un produit naturel, réglementé et sain à certaines doses peut devenir toxique si la posologie est grandement augmentée pour un besoin de performance ou de bien-être. Alors prenez garde et respecter les posologies conseillées et l’avis d’un médecin ou professionnel spécialiste.

Le corps est le seul endroit où nous sommes amenés à habiter toute notre vie – il faut savoir le respecter et l’entretenir en priorité.

En réalité, bien plus qu’un risque le sport représente une opportunité thérapeutique indirecte dans le traitement de l’hépatite chronique. A l’image des prises en charges de certains cancers, le traitement de l’hépatite chronique peut entraîner des douleurs musculaires et/ou raideurs articulaires. Une activité physique est bénéfique pour la santé et permet de réduire ces effets.

Continuer de pratiquer une activité physique régulière réduit l’anxiété, l’irritabilité et permet une résistance au stress et à la dépression. Pour vous faire conseiller et/ou accompagner, faites appel à un coach sportif professionnel et diplômé qui saura vous apporter des solutions adaptées à vos besoins et vos demandes. C’est le cas du réseau Domicil’Gym composés de coachs sportifs Forme et Santé à domicile  travaillant avec une démarche méthodique et sécuritaire.

Pour finir quelques conseils :

  • Préserver votre système cardiovasculaire et respiratoire avec des activités comme la marche ou le jogging lent, le vélo est une bonne alternative.
  • Soulager vos douleurs musculaires en pratiquant en milieux aquatiques : natation, aquagym, marche aquatique vous offrent de multiples opportunités.

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Je suis fatiguée alors que je suis sportive !?

On associe souvent le sportif régulier à la personne en pleine forme. Il est vrai que l’activité physique et sportive participe grandement à notre forme et notre bien-être, pour autant un sportif est aussi sujet au « coup de pompe », voir à la fatigue chronique … décryptage.

La fatigue chronique en sport porte le doux nom de surentraînement. C’est ni plus ni moins que le « burnout » des sportifs.

Il peut s’agir d’un problème de charge de travail et d’organisation générale. Bouger et produire des mouvements nécessite d’utiliser de l’énergie, une mauvaise gestion de celle-ci débouche généralement sur une fatigue excessive. C’est pourquoi, la récupération fait partie intégrante de l’entraînement : autorisez-vous un à deux jours de récupération minimum dans votre semaine. C’est même indispensable puisque le corps s’améliore essentiellement lors des phases de repos.

Vous éviterez de vous mettre en état de surentrainement si vous gérez intelligemment l’intensité de vos séances. Pas la peine d’être à 300% à chaque séance quelque soit l’activité pratiquée. Il faut savoir ralentir pour réussir – c’est apprendre à travailler à fond et aussi en confort. C’est souvent l’occasion de travailler la technique et de rebrancher les neurones. Votre efficacité en dépend aussi !

Pour autant, une journée de récupération ce n’est pas forcément une journée canapé ! Changez le sport que vous pratiquez habituellement par un autre – orientez-vous vers des activités moins sollicitantes pour le corps : gymnastique « douce » (Pilates, yoga, gym hypopressive, Taï-Chi etc.), ou encore des activités d’endurance sans grande intensité ni distance (natation, randonnée, course à pied, vélo, etc.).

Ensuite être sportif, c’est avoir l’habitude de pratiquer régulièrement une activité physique. Les résultats qui sont issus de cette pratique dépendent également de vos habitudes de vie : votre qualité de sommeil, la gestion du stress quotidien, votre alimentation, votre hygiène corporelle et votre hygiène mentale (vos lectures, vos projets … bref l’entretien de votre identité et de votre réflexion personnelle).

Dans tous les cas, être fatigué en permanence n’est pas normal et ne doit pas l’être. Bien souvent, des solutions simples et efficaces existent ! Je suis coach sportif Forme et Santé, mon métier est de vous apporter des solutions tenant compte de vos habitudes de vie, de votre condition physique et de vos objectifs.

Rencontrons-nous, si vous le souhaitez !

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Adapter son alimentation lorsqu’on fait du sport pour perdre du poids

J’ai décidé de m’entraîner de façon plus intense pour retrouver la ligne mais j’ai peur de trop manger car j’ai souvent plus faim maintenant. Voilà, ce que je peux entendre de certains de mes clients lorsque nous commençons à travailler ensemble dans le cadre de leur perte de poids. Pour amener une réponse cohérente à cette peur et se rassurer, il s’agit de connaître quelques subtilités.

Tout d’abord, il est indispensable d’adapter son régime alimentaire à sa pratique sportive et son objectif « Bien-Etre ». Les besoins nutritionnels des sportifs sont différents de ceux des sédentaires pouvant passer d’environ 1800 kcal/jour pour une femme sans activité physique réelle à plus de 2800 kcal/jour pour une athlète de haut niveau. Il s’agit donc de lui amener plus de carburants, c’est à dire plus de glucides complexes, de lipides de qualité et de protéines, ainsi que plus de vitamines et minéraux sans oublier l’hydratation. D’autant plus que faire du sport, c’est utiliser son corps comme véhicule de ses exploits et qu’il est aisé de comprendre qu’une voiture ne se rendra pas loin avec le mauvais carburant, quelle que soient les qualités de son conducteur.

Toutefois ne nous méprenons pas, lorsque je parle de « sportif » j’identifie des personnes réalisant une activité physique au minimum d’intensité modérée pendant plus de 3 heures par semaine. Une fois compris qu’il est aussi nécessaire, voir plus encore, d’avoir une alimentation plus quantitative et plus qualitative lorsque l’on bouge plus. Nous pouvons spécifier le régime physique que vous allez adopter pour mobiliser et perdre des graisses et les kilos qui y sont liés.

Les meilleurs résultats sont attribués à des personnes réalisant une activité physique et sportive aussi intense que possible sur un temps cumulé de 3h30 à 5 heures par semaine. Oui, vous avez bien lu aussi « intense que possible » !

A partir moment où ce que vous faites vous amène une légère sudation et une légère adaptation de votre respiration ne vous empêchant pas de discuter, vous consommez de l’énergie dont des lipides et des glucides. Plus l’activité est intense plus vous devez utiliser de l’énergie et vous dépensez ainsi plus de glucides (les sucres, immédiatement disponible pour ces efforts intenses), également plus de graisse (substrat le plus généreux pour créer de l’énergie).

Ce qui importe le plus est la quantité totale hebdomadaire d’activité physique que vous allez réaliser de manière assidue en maintenant une alimentation saine, équilibrée et juste en deçà de vos besoins caloriques quotidiens !

De plus dans cette logique de perdre de « graisses », afin de permettre la sollicitation de vos réserves énergétiques personnelles (notamment des lipides) par le corps, je vous conseille ne rien ingérer en dehors de votre hydratation dans l’heure qui suit votre séance, voir dans les deux heures. La capacité de régénération du corps aussi coûteuse en énergie est à son apogée durant cette heure post-exercice. Votre organisme est particulièrement actif pour trouver les nutriments et l’énergie nécessaire à sa régénération. Manger durant cette période revient donc à se tirer une balle dans le pied lorsqu’il s’agit d’utiliser ces propres ressources.

Vous recherchez un professionnel capable de vous écouter, vous accompagner et vous conseiller pour réussir à prendre de bonnes habitudes, visitez mon site !

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L’échauffement décrypté !

L’échauffement globalement, nous savons ce que c’est, à quoi ça sert même si dans les faits nous ne lui accordons pas toujours l’attention qu’il mérite. Oui, en effet l’échauffement permet de préparer le corps à un effort physique plus intense que nos simples actions quotidiennes. Il permet d’éviter les blessures et d’être plus efficace, plus performant pendant la tâche que nous accomplissons. Mais pourquoi physiologiquement doit-on réellement s’échauffer et ne pas le négliger ?

  • Au niveau du métabolisme énergétique :

Notre corps est une véritable machine à réaction chimique au travers de son activité enzymatique qui régule les communications physiologiques. Les enzymes en fonction de leur nature génétique sont sensibles à la température du milieu dans lequel elles agissent et sont par conséquent plus ou moins efficace.

  • Au niveau musculo-tendineux et articulaire :

Les muscles et les tendons atteignent leur rendement maximum à la température de 39°. A cette température, la viscosité des muscles est moins importante, les tendons plus élastiques. La viscosité, c’est la capacité pour un muscle à résister à l’allongement, l’élasticité celle lui permettant de revenir à sa forme de repos. L’échauffement permettrait une amélioration de la souplesse musculaire de 80%, une augmentation du débit d’oxygène sanguin et une meilleure synchronisation entre les messages nerveux et leurs destinataires. La synovie est sécrétée par nos membranes synoviales pour lubrifier nos articulations. Il nous est dès lors, possible de solliciter plus techniquement notre corps avec des mouvement plus amples et fluides.

  • Au niveau neuromusculaire :

Le système nerveux a un fonctionnement optimal entre 38° et 39°. La bonne communication entre notre cerveau, les autres centres régulateurs et nos muscles et organes permet des gestes plus coordonnés, plus maîtrisés. Une augmentation de la température centrale de 2% entraîne une accélération des contractions de 20%. C’est également plus de précision, de concentration et d’attention lorsque, grâce à l’échauffement, nous sécrétons plus d’adrénaline et de noradrénaline.

  • Au niveau cardiovasculaire :

L’échauffement stimule notre système orthosympathique, on note ainsi une augmentation de  la fréquence cardiaque, du volume d’éjection systolique et du débit cardiaque : le cœur fait circuler notre sang plus rapidement. Le sang est également plus fluide grâce à la sécrétion d’oxyde nitrique, ceci protège les parois des vaisseaux sanguins. Ces derniers d’ailleurs se dilatent dans les zones nécessaires à l’effort pour l’augmentation l’apport des carburants nécessaires à l’effort.

  • Au niveau de la récupération :

Pour mieux récupérer, il s’agit de prévenir les traumatismes auxquels le corps est assujetti lors d’activités physiques. Comprenez que si vous veillez à avoir une conduite respectueuse de la mécanique de votre voiture, vous dépenserez moins d’argent en réparation chez le garagiste. La première monnaie que nous utilisons est le temps, ainsi investissez quelques minutes de votre temps pour vous échauffer systématiquement vous évitera de perdre beaucoup de temps et d’argent avec des blessures ultérieures. Pour toutes les conséquences que nous venons de voir, l’échauffement permet bien de diminuer considérablement le risque de blessures et donc le besoin de récupération.

En tant que coach sportif Forme et Santé, je peux notamment vous aider à prendre l’habitude de réaliser un échauffement adapté et personnalisé. Pour plus de renseignement, n’hésitez-pas à me contacter.

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